Die Stille vor Bach

En une vingtaine de vignettes, le film approche la musique et les métiers qui l'entourent à travers l'œuvre et la personnalité de Jean-Sébastien Bach. Cette promenade au fil des siècles explore les relations entre l'image et la musique. Die Stille vor Bach «donne vie à la musique de Bach avec un mélange éblouissant de drame, de documentaire et de fantaisie quasi surréaliste. Commençant par une scène d'un piano mécanique faisant claquer les Variations Goldberg tout en roulant dans un loft lumineux et nu, Portabella chatouille les sens avec une série de sketches. De l’humour espiègle et du kitsch émerge une idée géniale: l’Europe moderne s’est construite sur les fondations de la musique classique, qui, par conséquent, y perdure avec ténacité» (Richard Brody, The New Yorker).