De La 1ère à la Cinémathèque: Travelling
De La 1ère à la Cinémathèque: Travelling (novembre-décembre)
Les vendredis de la peur (mai et juin)
The Wicker Man
Royaume-Uni · 1973 · 95' · v.o. s-t fr. · DC 16 (16)
De Robin Hardy
Avec Edward Woodward, Christopher Lee, Britt Ekland, Diane Cilento
Présenté par Pierre-Yves Walder, directeur général et artistique du NIFFF. Version Final Cut.
Débarqué sur un archipel pour enquêter sur la disparition d'une petite fille, le sergent Neil Howie découvre des rituels païens qui paraissent avoir un lien avec sa présence sur l'île... Le fleuron méconnu de la folk horror britannique devenu culte. «Qu’est-ce qui vous a fait peur ces dernières années? The Witch de Robert Eggers? Midsommar d’Ari Aster? Le Rituel de David Bruckner? Autant de ‹wickermaneries› particulièrement réussies (...). Le génie, et l’insuccès, de The Wicker Man tenait à son aspect protéiforme, investissant les genres et les tonalités avec une aisance folle. De fait, son influence s’est logiquement déployée partout, traçant désormais un réseau immense, et donnant l’impression de vampiriser tout un pan de l’imagerie contemporaine» (François Grelet, Première, 2021).
Séance(s)
Evénement
Les vendredis de la peur: The Wicker Man
Vendredi 31 mai à 21:00
Un vendredi tous les deux mois, le Capitole se transforme en cathédrale du cinéma de genre en faisant la part belle aux thrillers, films horrifiques et fantastiques, ainsi qu’à toutes ses autres déclinaisons. En collaboration avec le Neuchâtel International Fantastic Film Festival (NIFFF), la Cinémathèque suisse entreprend d’excaver des classiques de l’effroi et des pépites du cinéma bis, avec pour objectif de mettre en lumière ces films de l’ombre. Car si le cinéma de genre bénéficie aujourd’hui des feux des projecteurs, cela ne fut hélas pas toujours le cas: estampillés «séries B», ces films ont longtemps été méprisés et relégués à des divertissements de seconde zone. Un tort que la Cinémathèque suisse invite à réparer avec ce nouveau rendez-vous régulier; autant de vendredis que d’occasions uniques pour (re)découvrir – dans l’écrin somptueux du Capitole – des œuvres cultes et novatrices ayant marqué, parfois à leur manière, l’histoire du cinéma, mais aussi inspiré – voire bâti! – la filmographie d’illustres cinéastes.